l'equipe de france au quotidien

Petro et Gelabale sont mou!

Bin si Petro est mou alors Weis c'est pas mieux !!
Et Gelabale je le trouve assez vif, enfin il me semble !!
Non moi il me plaise ces gars là....

Gelebale est a la ramsse, Weiss a vraiment passé un cap

Mondial-2006 de basket: Parker-Diaw, la double menace française

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PARIS (AFP) - L'équipe de France de basket-ball possède avec Tony Parker et Boris Diaw un axe fort qui pourrait faire de gros dégâts dans un mois au Mondial japonais.

"Je ne peux pas tout faire tout seul". Le verdict, balancé par Parker un soir de détresse à l’Euro-2003, semble aujourd’hui bien loin. Car le double champion NBA n’est plus cet astre solitaire qui attire vers lui toute la lumière et tous les ballons chauds.

Il a depuis été rejoint par quelques camarades de promotion, dont un sort du lot: Boris Diaw. Au sortir d’un Euro-2005 révélateur et d’une saison sensationnelle à Phoenix, l’ailier polyvalent a presque rattrapé Parker, que ce soit en termes d’impact sur le parquet ou en popularité dans les cours d’école.

Cette petite révolution a été perceptible lors des quatre premiers matches de préparation de l’équipe de France la semaine dernière. A la présentation des équipes, Parker était toujours loin devant les autres à l’applaudimètre, sauf lorsque le speaker appelait "Boris Diaaooow".

Les cris stridents concernent les deux désormais. "C’est Johnny Hallyday qui arrive, nous n’étions que la première partie", a plaisanté le sélectionneur Claude Bergeaud après le premier test contre la Suisse à Divonne-les-Bains. En fait, c’était juste "Bobo et TP" qui passaient devant le jeune public.

Sur le terrain aussi, les responsabilités sont désormais partagées. Mieux, les deux hommes sont en train de mettre en place une relation technique inédite en équipe de France, inspirée des grandes paires du basket américain.

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"On en avait parlé avec Claude (Bergeaud) lorsqu’il est venu me voir à San Antonio, raconte Parker. Il m’a tout de suite dit qu’on allait faire jouer Boris en 4 pour qu’on se retrouve tous les deux dans une situation proche de celle qu’on connaît en club."

Avec Parker en meneur de jeu et Diaw en ailier fort, l’équipe de France ressemble ainsi à un hybride entre les San Antonio Spurs, où le premier combine avec Tim Duncan, et les Phoenix Suns, où le second reçoit les caviars de Steve Nash.

Cette association fonctionne d’autant mieux que les deux amis sont déjà en grande forme. "Les mois qui ont précédé l’arrivée en sélection de Tony ont été sains, contrairement à l’année dernière où, après avoir sillonné la planète, il avait débarqué en étant +rincé complet+", remarque Claude Bergeaud.

Quant à Diaw, il rayonne tellement sur la sélection que Bergeaud n’a pas hésité à lui confier le capitanat, malgré ses 24 ans. "Claude a fait un très bon choix, estime Parker, car le capitanat oblige Boris à être plus agressif, à parler plus sur le terrain. Il a parfois tendance à être un peu nonchalant. Là, il ne peut plus se permettre de faire n’importe quoi."

Que son pote ait ainsi pris une nouvelle dimension ne dérange pas Parker. Il dit qu’au contraire, ça l’arrange parce que comme ça il a "moins d’interviews à donner".

La France séduit en Alsace

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A quatre semaines du début du Mondial-2006, l'équipe de France a montré un visage séduisant à Strasbourg avec trois victoires en besace. Avec les départs de Stephen Brun, Michel Morandais et Vincent Masingue, la formation de Claude Bergeaud prend forme de plus en plus.

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Alors que, dans la soirée, le sélectionneur Claude Bergeaud a annoncé à Stephen Brun, Michel Morandais et Vincent Masingue qu'ils quittaient l'aventure à ce stade, le noyau de l'équipe a pris forme et ressemble déjà à quelque chose. Cela commence par l'esprit, frais et enthousiaste, qui s'affiche au grand jour à la présentation des équipes, transformée en joyeux rentre-dedans à la limite du grand bazar.

Cela se poursuit par une belle solidarité sur le parquet, visible à travers un jeu de passes volontaire et surtout une forte pression défensive, la "marque de fabrique de l'équipe de France", comme le souligne Tony Parker. Après des débuts brouillons dans ce domaine face à la Suisse (84-58), la garde bleue s'est resserrée progressivement face au Sénégal (95-58), la Lituanie (71-64) pour finir par cadenasser intégralement les Chinois dimanche, limités à 5 points au premier quart-temps!

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Parker-Diaw, ça fonctionne!

Sachant que c'est la défense qui fait figure de baromètre dans les grandes compétitions internationales, le constat est encourageant, même s'il est en attente de validation face à des équipes plus rugueuses que celles, très exotiques, proposées en Alsace. On en saura plus à l'issue du prochain tournoi de préparation, du 31 juillet au 3 août à Athènes, où la France affrontera successivement l'Italie, la Croatie et la Grèce, championne d'Europe.

L'autre satisfaction du moment est l'excellence de la relation technique entre les deux vedettes, Tony Parker et Boris Diaw, qui ont fini meilleurs marqueurs de chacun des quatre matches de préparation. "On se trouve à merveille, acquiesce Parker, on recrée les automatismes que Boris possède avec Steve Nash à Phoenix et moi avec Tim Duncan à San Antonio." La complémentarité du tandem constitue une vraie menace puisque chacun libère des espaces pour l'autre. D'autant que Parker, en net progrès au shoot, a étoffé son registre et que Diaw, le nouveau capitaine, rayonne plus que jamais sur le terrain.

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Ajoutez-y la forme "exceptionnelle" (Bergeaud) de Weis, la marge de progression des Gelabale et Mickaël Pietrus ou encore l'alternative proposée par des joueurs comme Diarra et Foirest, et vous obtenez un ensemble cohérent, même s'il penche encore trop à l'extérieur. Un déséquilibre naturel que les Français ont essayé de rétablir contre la Chine, en cherchant régulièrement des solutions dans la raquette. Sans doute que Bergeaud voulait aussi tester une dernière fois Masingue, Petro et Turiaf avant de trancher dans le vif.

Voila pour me rattraper...

France Chine:
http://www.sportbit.org/download.php/329/France_China_preparation_2006.torrent

France- Lituanie

http://www.sportbit.org/download.php/326/France_Lithuania.avi.torrent

Il faut juste bittorrent!

Assez peu de belles photos de l'EDF durant le tournoi de Strasbourg voici ma petite sélection (3 par match )

FRANCE - SENEGAL
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FRANCE - LITUANIE
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FRANCE - CHINE
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Bientôt la fin de stage à Divonne

Alors qu’ils s’apprêtent à disputer deux tournois consécutifs (Grèce et Allemagne), les Français continuent, sous la chaleur, de se préparer pour le Championnat du Monde. Après le Tournoi de Strasbourg, ils triment alternant musculation, shoot, et répétitions techniques.

Photo : Les Bleus ont signé beaucoup d'autographes jeudi (Canet/FFBB)

Une séance de dédicaces pour tous

Les 14 joueurs de l’Equipe de France se sont prêtés de bon cœur jeudi à midi à une séance de dédicaces auprès de 200 personnes qui s’étaient amassées à la porte du complexe sportif de Divonne-Les-Bains. Pascaline Roux et son équipe, soutenue par la Police municipale, ont parfaitement « driver » les choses afin de ne faire aucun frustré et pour que tous les enfants qui étaient venus voir de près leurs idoles soient comblés. Après 45 minutes les joueurs se sont séparés de leurs fans et sont allés déjeuner.

Le Ministre des Sports en visite à Divonne

Jean-François Lamour, Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie Associative (MJSVA) fera honneur de sa présence à l’Equipe de France à Divonne. En effet l’ex champion Olympique de sabre prendra vendredi matin le petit déjeuner avec les coéquipiers de Boris Diaw à leur hôtel à 9h. Il effectuera ensuite une visite des installations sportives de la ville avec le député Maire, Monsieur Etienne Blanc.

Un grand bravo aux Juniors Champions d’Europe

Les joueurs de l’Equipe de France ont suivi les exploits des Juniors via internet. Unanimement les basketteurs tricolores ont salué la performance et certains médaillés de 2000 à Zadar dans la même compétition avaient une pensée émue pour les jeunes pousses de la formation française. Attention les « jeunes » séniors doivent se méfier les générations à venir ont les dents longues.

Jacqueline Navarro ne lâche rien

Telle une « Miss Marple Divonnaise », que la célèbre Agatha Christie n’aurait pas imaginé, Jacqueline Navarro, cabat à la main et lunettes sur le nez mène l’enquête. En effet cette dame d’un certain âge, qui alimente les pages locales du Dauphiné Libéré et une fidèle de la salle d’entraînement afin de glaner les dernières informations qui pourraient ressortir du groupe France. Et si Eva Longoria n’est pas annoncée à son grand désespoir, cette enquêtrice perspicace sera bien présente vendredi matin au petit déjeuner que prendra le Ministre des Sports avec les Bleus à leur hôtel.

Le programme des Bleus

Vendredi 28 juillet : Entraînement de 11h à 13h
Samedi 29 juillet : Entraînement de 11h à 13h
Dimanche 30 juillet : Départ pour Athènes en fin de matinée depuis Genève
Lundi 31 juillet : France – Italie
Mardi 1er août : France – Croatie
Mercredi 2 août : France – Grèce
Jeudi 3 août : Départ pour Berlin en matinée
Vendredi 4 août : France – Italie
Samedi 5 août : France – Allemagne ou Turquie
Dimanche 6 août : Retour sur Paris

Et bin didonc le programme et plus que chargé !! Faut faire gaffe à la blessure pour ne pas faire comme Cissé au football !

La route s'élève pour les Bleus

Claude Bergeaud et Tony Parker en sauront un peu plus après le Tournoi d'Athènes...

Convaincants vainqueurs du tournoi de Strasbourg, les Bleus de Claude Bergeaud, qui avaient dominé pour l'occasion le Sénégal, la Lituanie et la Chine, vont relever un nouveau défi, de lundi à mercredi, à Athènes. Un défi autrement plus ardu puisque les Tricolores, toujours dans le cadre de leur préparation pour le Mondial japonais fin août, devront se frotter aux Italiens, aux Croates et aux Grecs. Trois oppositions de taille qui devraient en dire un peu plus sur le potentiel d'une équipe de France ambitieuse...

Ouai j'attend la Grèce moi!

Les Bleus se testent

Après le tournoi de Strasbourg (victoires sur le Sénégal, la Lituanie et la Chine), l'équipe de France poursuit sa préparation au Mondial 2006, qui débute le 19 août au Japon, par le tournoi d'Athènes.

A partir de lundi, les Bleus vont se frotter à des équipes européennes ambitieuses : l'Italie, la Croatie et la Grèce avant de se rendre en Allemagne pour y jouer à nouveau l'Italie puis l'Allemagne ou la Turquie. Les Français amorcent une série de cinq matches en six jours et vont anticiper les huitièmes de finales où la France pourrait croiser l'Allemagne ou l'Espagne.

«Ces trois équipes (au tournoi d'Athènes) vont être bien plus dures et solides. On va avoir face à nous des gens qui sont habitués à disputer des matches serrés et qui, même menés à quelques minutes de la fin, ne paniquent jamais. Malheureusement, c'est quelque chose que nous n'avons pas vécu à Strasbourg. Il est clair qu'on les attend ces rencontres-là pour travailler la gestion des fins de match», souligne le sélectionneur Claude Bergeaud. Et en particulier face aux Grecs, tombeurs des Français en demi-finale du dernier Championnat d'Europe.
«Si on rejoue la Grèce avec sept points d'avance à une minute de la fin, je garantis qu'on ne perd pas ce match. Parce que c'est marqué à vie dans la tête de tout le monde.» A l'issue de la préparation, l'entraîneur devrait livrer ses derniers choix qui s'effectueront a priori à l'intérieur (Turiaf ou Petro) et à l'arrière (Bokolo ou Gomis).

(Avec AFP)

A Athènes de vrais tests

Après trois semaines de stages à Divonne-Les-Bains, entrecoupé d’un tournoi à Strasbourg, les Bleus ont quitté leur base de préparation de l’Ain pour rejoindre la chaude ville d’Athènes. Les français joueront lors du Tournoi de l’Acropolis, l’Italie, la Croatie et la Grèce.

Photo : Les Tricolores, à peine descendus de l’avion se sont entraînés dans la magnifique salle du stade Olympique de 25 000 places. (Canet / FFBB)

Claude Bergeaud le sait, ce tournoi de l’Acropolis est le test attendu pour véritablement jauger son équipe et clarifier ses futurs choix pour la sélection finale. A Athènes, les oppositions de hautes volées, que vont procurer l’Italie, la Croatie et la Grèce sont également attendues par les joueurs qui piétinent à l’idée d’entrer dans de vrais rencontres aiguisant leurs âmes de compétiteurs nés.

Le programme à Athènes (pour les horaires en France, enlever 1h)

Lundi 31 juillet : (entraînement : 10h-11h) : Matches : 18h45 : France – Italie / 21h00 : Grèce – Croatie (17h45 en France)
Mardi 1er août : 18h45 : France – Croatie / 21h00 : Grèce – Italie (17h45 en France)
Mercredi 2 août : 18h45 : Croatie – Italie / 21h00 : Grèce – France (20h00 en France)

Un transfert sans problème

Malgré une vingtaine de minutes de retard au décollage, le transfert en avion entre Genève et Athènes, sur la compagnie SwissAir, s’est bien déroulé et les joueurs ont pu profiter des trois heures de vol pour se restaurer et se reposer avant d’arriver dans la capitale Grec. A l’arrivée des Bleus point de comité d’accueil, seul le chauffeur du bus, sympathique au demeurant, était présent pour amener la délégation à l’hôtel. Une fois sur place, si tout était parfaitement préparé pour l’arrivée des Bleus, aucune indication n’avait été donnée au chauffeur du bus pour aller à la salle pour l’entraînement. Il aura fallu « deviner » le nom de la salle d’entraînement pour indiquer la bonne adresse au chauffeur.

Une insolite accolade

Frédéric Weis fut le premier surpris. En arrivant à la salle Olympique pour l’entraînement en fin de journée lundi, et en descendant du bus, le grand pivot français, s’est trouvé nez à nez avec un personnage assez intriguant puisque ce dernier est tombé dans les bras de l’international. Frédéric Weis ne semblait pas l’avoir reconnu. Pas un mot ne fut échangé entre les deux hommes, mais une franche rigolade a par la suite éclaté entre les joueurs français, se moquant gentiment de l’intérieur, lui aussi « mort de rire », pensant qi’il devait avoir laissé quelques traces indélébiles de son passage en Grèce au PAOK Salonique en 2000-2001.

Des Italiens en retard

L’équipe Nationale d’Italie est arrivée avec près de 5 heures de retard à l’aéroport d’Athènes sur l’horaire prévue. Les coéquipiers de Gianluca Basile ont donc du presser le pas pour s’installer dans leur chambre, avaler une collation et ensuite rejoindre la salle Olympique pour un entraînement nocturne de 21h15 à 22h45.

Pascaline Roux au départ

Après avoir offert de son temps et un total dévouement pendant toute la durée du stage de l’Equipe de France, la responsable du service des Sports de Divonne-Les-Bains, Pascaline Roux, était présente lors du départ de l’équipe dimanche matin pour dire un dernier « Au revoir » bien amical aux joueurs et au staff. Merci Pascaline.

Une première victoire face à l’Italie à Athènes

Dans une partie qu’ils ont maîtrisé de bout en bout, les Français se sont imposés face à la jeune Italie 66-59. Tony Parker termine meilleur marqueur avec 23 points mais c’est dans le secteur intérieur que doit se faire le plus gros du travail pour trouver sa vitesse de croisière.

Photo : Tony Parker score 23 points en 26 minutes et a conduit les Bleus à la victoire. (Bellenger/IS/ FFBB)

Claude Bergeaud avait demandé à ses joueurs de l’implication pour entrer de bonne manière dans ce tournoi de l’Acropolis. Ce fut chose faite. D’entrée de jeu les Bleus effectuent un bon départ. En trois minutes les Français infligent un 8-0 (8-3), avec Parker et Mike Pietrus à la conclusion d’actions bien amenées. Boris Diaw, qui rate ses deux premiers tirs, ne semble pas trop dans le rythme, mais Claude Bergeaud fait beaucoup tourner son effectif et seulement Joseph Gomis n’est pas encore entré après 11 minutes de jeu.

Les deux formations se neutralisent à l’entame du second quart (22-16) et c’est sur un dunk de Florent Pietrus à la 4ème minute que le score se débloque en faveur des Bleus (24-16). Les rotations défensives des bleus perturbent les Italiens qui ne trouvent leur salut que sur la ligne des lancers-francs (4 lancers marqués sur 9 points dans cette période). La domination au rebond des Tricolores est flagrante (26 rebonds à 13 à la pause, dont 10 rebonds offensifs). Parker brille par sa classe et inscrit 16 points à la pause en 14 minutes. Mi-temps : 36-25.

Après avoir encaissé un 6-0 (41-33), Claude Bergeaud demande un temps-mort. Défensivement les Français n’y sont plus. Les Italiens jouent plus larges et leurs « drive » créent des brèches dans la défense des Bleus. Le coach Français décide alors de changer de défense et passe en zone 3-2 qui permet aux tireurs transalpins de lancers quelques flèches mais la France repart dans le bon sens et passe un 13-3 avec notamment un panier à trois points de Jeanneau au buzzer de la fin de période. Avec 11 points d’avance à la 30ème minute, les Bleus s’en sortent plutôt bien (58-47).

Toujours en « Zone » à l’entame de ce dernier quart, Gigli se régale (2 paniers à 3 points et 8 points à lui seul) et la squadra Azzura revient dans les traces des Bleus (61-55). Sur le parquet c’est le retour dans les 4 dernières minutes de Julian, Parker et Mike Pietrus pour donner de l’expérience à cette équipe et tenir la fin de match. Les Français ne tremblent pas et devront encore insister dans le secteur intérieur pour trouver le bon équilibre. Score final : 66-59.

France – Italie : 66-59 (22-16, 14-9, 22-22, 8-12)

Les marqueurs :

France :

Gomis 3, Gelabale 0, Jeanneau 5, Foirest 0, Pietrus M 11, Parker 23 (3 passes), Diarra 5, Pietrus F 5, Julian 0, Diaw 2, Petro 4, Weis 8 (8 rebonds).
Ne jouent pas : Bokolo, Turiaf.

Italie :

Basile 6 (6 passes), Mancinelli 1, Soragna 2, Marconato 2, Pecile 6, Michelori 0, Mordente 4, Garri 6, Gigli 11 (6 rebonds), Di Bella 3, Belinelli 14, Di Giuliomaria 4.
Ne jouent pas : Boscagin, Cittadini, Giochetti, Pecile, Rocca.

Le programme à Athènes

Lundi 31 juillet : France – Italie : 66-59 - Grèce – Croatie :
Mardi 1er août : 18h45 (17h45 en France) : France – Croatie / 21h00 (20h00 en France) : Grèce – Italie
Mercredi 2 août : 18h45 (17h45 en France) : Croatie – Italie / 21h00 (20h00 en France) : Grèce – France

Une salle déserte

Jouer dans une salle de 20 000 places, et devant un peu plus de 100 spectateurs, (dont Jacques Klopp de l’AFP et David Loriot du quotidien l’Equipe) est une véritable désolation. C’est ce qu’ont vécu les coéquipiers de Boris Diaw, lors de cette première rencontre face à l’Italie lors du tournoi de l’Acropolis. Les vacances, la chaleur n’expliquent pas tout et on peut se demander si le constat de la baisse d’affluence dans les salles Grecques depuis quelques temps ne va pas empirer dans les années à venir.

David Chambon avec la délégation

L’arbitre international français, David Chambon, qui est arrivé en même temps que la délégation dimanche à Athènes et qui accompagne les Bleus, arbitrera trois rencontres lors de ce tournoi. Bien entendu il officiera lors des matches où la France ne joue pas. (Grèce-Croatie, Italie-Grèce et Italie-Croatie). David Chambon évolue en Euroleague (Uleb).

Source: Basketfrance.com

Sous l'aile de Parker

De Sports.fr

L'équipe de France a réussi ses premiers pas dans le tournoi d'Athènes. Lundi soir, les Bleus ont pris le dessus sur l'Italie 66-59, réussissant du même coup à conserver leur invincibilité depuis le début des matches de préparation au Mondial. Contre les Transalpins, les Tricolores se sont appuyés sur leur leader Tony Parker, qui a donné le tournis à la défense de la Squadra Azzurra. Auteur de 23 points et 3 passes décisives, le meneur de jeu a éclaboussé une partie bien maîtrisée par les hommes de Claude Bergeaud.

TP a donné le ton.

Reçue cinq sur cinq. Après la Suisse, le Sénégal, la Lituanie et la Chine, l'Italie est la cinquième équipe à avoir subi la loi de l'équipe de France sur la route du Mondial japonais (19 août-3 septembre). Dans la magnifique enceinte de l'OAKA Stadium qui avait abrité le tournoi olympique à Athènes en 2004, les Bleus ont prolongé leur invincibilité lors de ces matches de préparation. Malheureusement pour eux, et pour leurs adversaires, les supporters grecs n'ont pas répondu présent lundi soir et seule une petite centaine d'amateurs était venue garnir les gradins d'une salle qui peut en accueillir 16 000...

Tant pis pour les absents, car la rencontre a tenu toutes ses promesses. Contre une formation italienne rajeunie qui n'a plus grand chose à voir avec celle qui était devenue vice-championne olympique il y a deux ans, les coéquipiers du nouveau capitaine Boris Diaw ont une nouvelle fois démontré qu'ils faudra compter sur eux au Japon. Adroits à l'extérieur, les Tricolores ont maîtrisé toute la rencontre, devant dès la fin du premier quart-temps (22-16) et avec +11 à la pause (36-25). Claude Bergeaud a beaucoup fait tourner ses douze hommes, sachant que Ronny Turiaf et Yannick Bokolo étaient en tribune pour ce premier match en Grèce.

L'intérieur peine à scorer

Ils ont ainsi pu admirer la prestation d'un Tony Parker magistral. Inarrêtable, le meneur de la sélection tricolore avait déjà inscrit 16 points en quatorze minutes de temps de jeu à la pause. Avec 23 points à 8 sur 11 aux tirs à la fin du match, la star des Spurs a guidé les siens. Avec 11 points, Mickael Pietrus s'est lui aussi distingué, tout comme un Frédéric Weis (8 points-8 rebonds) une nouvelle fois très saignant. Boris Diaw était en petite forme (2 points), mais le collectif a fait la différence, avec notamment une défense très efficace. En concurrence avec Ronny Turiaf pour la sélection finale, Johan Petro s'est montré maladroit (4 points à 1 sur 6 aux shoots) tandis que Joseph Gomis, en balance avec Yannick Bokolo pour la place de troisième meneur, s'est révélé discret (3 points).

Au-delà de cela, le secteur intérieur, malgré une main-mise sur le rebond (46-34), a montré qu'il y avait encore de nombreux réglages à effectuer, surtout dans les phases offensives. Lundi soir, Cyril Julian (0), Florent Pietrus (5), Frédéric Weis (8), Boris Diaw (2) et Johan Petro (4) ont inscrit 19 points à eux cinq. C'est trop peu. Il reste sept matches de préparation à Claude Bergeaud pour améliorer cela. Demain contre la Croatie, et mercredi face aux Grecs, les « grands » seront donc attendus au tournant. Ronny Turiaf pourrait apporter son enthousiasme. En espérant voir le Japon dans trois semaines...

La fiche du match :
Spectateurs: 100 environ
Arbitres: MM. Voreadis, Muvic et Anastopoulos

France : 21 paniers (dont 4 sur 14 à 3 pts) sur 56 tirs - 20 LF sur 28 tentés - 46 rebonds (Weis 8) - 7 passes décisives (Parker 3) - 1 contre - 6 interceptions - 18 balles perdues - 20 fautes personnelles.
Marqueurs: Gomis (3), Gelabale (0), Jeanneau (5), Foirest (0), M. Pietrus (11), Parker (23), Diarra (5), F. Pietrus (5), Julian (0), Diaw (2), Petro (4), Weis (8)

Italie : 18 paniers (dont 9 sur 27 à 3 pts) sur 57 tirs - 14 LF sur 20 tentés - 34 rebonds (Gigli 6) - 13 passes décisives (Basile 6) - 3 contres - 8 interceptions - 12 balles perdues - 26 fautes personnelles.
Marqueurs: Basile (6), Mancinelli (1), Soragna (2), Marconato (2), Pecile (6), Michelori (0), Mordente (4), Garri (6), Gigli (11), Di Bella (3), Belinelli (14), Di Giuliomaria (4)

Solides comme les Bleus

Un bon match pour Turiaf qui marque des points.

Malgré des sautes de concentration, l'équipe de France s'est offert une sixième victoires en autant de matches depuis le début de sa préparation pour le Championnat du monde au Japon. La France a dominé la Croatie (76-69) dans le cadre du Tournoi d'Athènes qui se conclura mercredi avec une "finale" contre les champions d'Europe grecs. Dominateurs dans les deux premiers quart-temps, les Tricolores ont laissé revenir leurs adversaires avant que Ronny Turiaf ne fasse la décision en fin de match.

Source: sports.fr

Victoire délicate face à la Croatie

Après un premier quart-temps poussif, une très bonne deuxième période, un catastrophique 3ème quart et une fin de match maîtrisée, les Tricolores se sont dépêtrés non sans mal de l’obstacle Croate : 76-69. Demain mercredi à 21h00 (20h00 en France) les Français joueront les « gros bras » du tournoi, les Champions d’Europe en titre : la Grèce. Un air de revanche devrait parcourir le parquet de la salle Olympique d’Athènes.

Photo : Ronny Turiaf (12 pts) a été l’élément déterminant dans la victoire des Bleus face à la Croatie. (Bellenger/IS/ FFBB)

A l’issue du match de la veille face à l’Italie, Claude Bergeaud avait demandé plus d’implication du secteur intérieur dans l’apport de point et un meilleur équilibre extérieur-intérieur. Le message a semble-t-il été entendu par les joueurs et les points apportés par les pivots français sont plutôt rassurant, même si la prestation a fait alterner le bon et le moins bon.

En l’absence de Frédéric Weis, laissé au repos par l’entraîneur, c’est Cyril Julian qui entre dans le cinq de départ de la France avec les quatre autres joueurs désormais habitués aux entames de rencontre : Tony Parker à la mène, les deux Mickaël (Pietrus et Gelabale) dans les ailes et Boris Diaw en poste « 4 ». La partie débute par un fort jolie Alley-Hoop de Diaw sur une passe de Parker.
Rapidement sanctionné par les fautes le néo Sonics Gelabale sort et laisse sa place à Laurent Foirest. Cyril Julian marque 6 points qui permettent aux Bleus de compter 5 longueurs d’avance (18-13) après 8 minutes de jeu.
Mickaël Pietrus provoque beaucoup de faute grâce à ses « drive » percutant (6 points) mais manque un bon nombre de lancer-francs (2 sur 6).
On sent la défense française un peu « ailleurs » dans ce premier quart-temps et les Croates en profitent pour ne pas se laisser distancer (21-19).

L’entame du second quart est à l’image de ce que l’Equipe de France est capable de montrer, notamment dans l’implication défensive et la rigueur offensive. Le résultat sur le tableau d’affichage se fait vite ressentir. Claude Bergeaud tente de nombreux cinq sur le terrain, Bokolo est associé à Gomis puis Florent Pietrus, Johann Petro et Boris Diaw se partagent aussi le terrain, le technicien français décalant pour la première fois l’ailier des Suns dans l’aile. L’implication défensive est forte. Ronny Turiaf et Joseph Gomis font bon passage (29-24, 13ème). Les Bleus reprennent le large sur deux paniers de Petro qui semble plus à l’aise (41-31, 17ème ). Les Tricolores infligent un 13-0 aux Croates qui ne peuvent plus faire face (49-31, 20ème)

C’est un 13-0 en 6 minutes qu’infligent les Croates au retour des vestiaires, très certainement remontés par leur entraîneur. Les coéquipiers de Boris Diaw ne trouvent pas la solution offensivement et les « trous » défensifs démontrent un manque de concentration certain (51-44). C’est même un quart-temps cauchemar que les Bleus subissent n’inscrivant que 3 paniers en 10 minutes et 9 points. Les Croates en profite pour recoller au score (58-52) après avoir compté 18 longueurs de retard à la mi-temps.

Galvanisés par cette remontée fulgurante dans les dix précédentes minutes, les Croates continuent de grignoter et recollent au score à 4 minutes du terme de cette rencontre (66-66) sur un panier en pénétration de Ukic. L’entrée en jeu de Ronny Turiaf sera décisif pour les Bleus. Dans les dernières minutes le Lakers score les 8 derniers points de la France et prend 4 rebonds essentiels.

France – Croatie : 76 – 69 (21-19, 28-12, 9-21, 18-17)
Arbitres : Fabbio FAKINI (ita), Léonidas SPIRIDONOS (Gre) et Spiros GODAS (Gre).
100 spectateurs

La feuille de match
Spectateurs : 100 environ
Arbitres : MM. Fakini, Spiridonos et Godas

France : 27 paniers (dont 3 sur 9 à 3 pts) sur 51 tirs - 19 LF sur 27 tentés - 26 rebonds (F. Pietrus 4) - 8 passes décisives (Parker 5) - 2 contres - 9 interceptions - 18 balles perdues - 16 fautes personnelles
Marqueurs : Gomis (5), Gelabale (0), Bokolo (4), Foirest (0), M. Pietrus (6), Parker (13), Diarra (0), F. Pietrus (7), Julian (6), Diaw (10), Petro (13), Turiaf (12)

Croatie : 27 paniers (dont 5 sur 15 à 3 pts) sur 53 tirs - 10 LF sur 15 tentés - 27 rebonds (Tomas 6) - 12 passes décisives (Planinic 4) - 1 contre - 6 interceptions - 22 balles perdues - 23 fautes personnelles
Marqueurs : Ukic (9), Kus (7), Miljkovic (0), Longin (0), Prkacin (4), Tomas (7), Planinic (8), Pasalic (0), Vrbanc (3), Banic (13), Kasun (13), Markota (5)

Les Bleus refroidis

Source: Sports.fr

Il fallait bien que cela arrive un jour. Après six matches de préparation au Mondial sans défaite, l'équipe de France a perdu son invincibilité mercredi soir lors du tournoi d'Athènes. Opposés aux Grecs lors de l'ultime journée, les Bleus ont plié face aux champions d'Europe 70-56 après être totalement passés à côté de leur seconde période. Plus que la perte de l'épreuve qui revient aux Hellènes, c'est la lourde défaite que vont vite devoir digérer le hommes de Claude Bergeaud. Le tournoi de Berlin, qui débute vendredi avec un match contre l'Italie, devrait les y aider.

Boris Diaw, auteur de 8 points, n'a pas pu éviter la défaite aux Bleus.

Le report du coup d'envoi de la rencontre de quinze minutes en raison d'un tableau d'affichage récalcitrant n'avait pourtant pas semblé affecter les Bleus. Lancés tambour battant dans cette « finale » du tournoi d'Athènes – les deux équipes invaincues se disputaient la victoire lors de cette troisième et ultime journée -, les hommes de Claude Bergeaud, très vite, prenaient le dessus sur leurs hôtes d'un soir. S'appuyant sur une excellente défense, les Tricolores faisaient totalement déjouer les Grecs, incapables de trouver la mire durant toute la durée du premier quart-temps. Après dix minutes de match, les Français menaient donc 15-8.

Si les champions d'Europe trouvaient enfin de l'adresse lors du deuxième acte, les coéquipiers de Boris Diaw parvenaient à faire à peu près jeu égal et rentraient aux vestiaires à la pause avec un maigre, mais précieux avantage de deux points (29-27). Malheureusement, la physionomie de la partie allait totalement changer après le repos. Maladroits offensivement, les Bleus ne parvenaient plus à maintenir leur intensité en défense et les Hellènes n'en demandaient pas plus pour prendre les commandes de la rencontre. Auteurs de dix petits points lors du troisième quart-temps, et concédant 22 unités aux coéquipiers de Diamantidis – celui-là même qui avait crucifié les Français en plantant le shoot à trois points de la victoire des Grecs à trois secondes du terme de la finale de l'Euro 2005 – les Tricolores se retrouvaient derrière au moment d'aborder les dix dernières minutes (39-49).

Bergeaud pas aidé

Mais les derniers assauts des Bleus, à l'initiative de Parker (20 points), Diaw (8 points) et Gelabale (8 points) n'allaient rien changer. Sûre de sa force, la Grèce pliait la partie 70-56, montrant du même coup qu'il faudra vraiment compter sur elle lors du Mondial au Japon à la fin du mois. Malgré la défaite, la première en sept matches de préparation, les Français aussi restent de sérieux outsiders. Reste que mercredi soir, dans une salle qui enfin ne sonnait plus creux (4600 supporters contre 100 seulement lors de leurs deux premiers matches), l'équipe de France a pu mesurer le travail qui lui reste à accomplir avant de s'estimer prête pour la grande échéance.

Dans la lutte pour les deux places restantes au sein de la sélection, Bergeaud avait laissé au repos Johan Petro et Joseph Gomis, qui avaient pour le moment joué toutes les rencontres, tandis que Ronny Turiaf et Yannick Bokolo, laissés dans les tribunes face à l'Italie, enchaînaient leur deuxième match en deux jours. En verve contre les Croates, Turiaf et Bokolo ont été très discrets ce soir. Aucun point pour l'un, comme pour l'autre, ils n'ont sans doute pas aidé leur entraîneur dans ses choix. Le tournoi de Berlin, qui débute vendredi, et qui proposera aux Bleus un nouveau match face à l'Italie, puis le lendemain contre la Turquie ou l'Allemagne, donnera peut-être plus d'informations au coach tricolore.

La feuille de match

A Athènes, Grèce bat France 70-56 (8-15, 19-14, 22-10, 21-17)
Spectateurs: 4600
Arbitres: Lazaros VOREADIS (Gre), Fabbio FACHINI (ita), Dubravko MUHVIC (Cro).

France:

23 paniers (dont 5 sur 16 à 3 pts) sur 50 tirs - 5 LF sur 6 tentés - 31 rebonds (Diaw et Gelabale 6) - 13 passes décisives (Parker 5) - 3 contres - 9 interceptions - 27 balles perdues - 19 fautes personnelles.

Marqueurs: Bokolo (0), Gelabale (8), Jeanneau (0), Foirest (5), M.Pietrus (4), Parker (20), Diarra (0), F.Pietrus (5), Julian (4), Diaw (8), Turiaf (0), Weis (2)
Entraîneur: Claude BERGEAUD

Grèce:

28 paniers (dont 6 sur 15 à 3 pts) sur 54 tirs - 8 LF sur 16 tentés - 23 rebonds (Ntikoudis 4) - 22 passes décisives - 2 contres - 11 interceptions - 15 balles perdues - 18 fautes personnelles.

Marqueurs: Zisis (6), Spanoulis (11), Vasilopoulos (0), Fotsis (10), Chatzivrettas (6), Ntikoudis (4), Tsartsaris (1), Diamantidis (9), Papadopoulos (6), Kakiouzis (9), Papamakarios (0), Shortsanitis (8)
Entraîneur: Panagiotis YIANNAKIS

Des Grecs au dessus

Les Français n’ont mené qu’une mi-temps avant de s’écrouler face à la défense et l’adresse des Grecs Champions d’Europe : 56-70.
Tony Parker termine meilleur marqueur de la rencontre avec 20 points et MVP du tournoi, une maigre récompense pour le meneur de jeu Tricolore. Les Bleus s’envolent dès jeudi matin pour Berlin.

Photo : Tony Parker a été élu meilleur joueur du Tournoi d’Athènes mais cela n’aura pas suffit aux Bleus pour gagner face à la Grèce. (Bellenger/IS/ FFBB)

Le match débute avec 15 minutes de retard à cause d’un problème de tableau d’affichage tombé en panne.

« La défense est le socle de l’Equipe de France », dixit Claude Bergeaud. Les Bleus ont appliqué cette phrase à la perfection dans ce premier quart-temps laissant les Grecs à 8 points.
Derrière un Frédéric Weis impérial dans la raquette qui muselle Papadopoulos et ses 2,10 m, les Bleus prennent 5 longueurs d’avance après 5 minutes de jeu (7-2) sur un Dunk du pivot Tricolores.
Le ballon circule vite et les intérieurs Français sont à la conclusion. 15-8 à la fin du quart-temps.

Les Grecs sont maladroits et ne trouvent pas la mire sur les tirs ouverts. Les pertes de balles s’enchaînent des deux côtés.
Après 13 minutes de temps de jeu les coéquipiers d’Aymeric Jeanneau mènent tout de même de 9 points (19-10).
L’entrée en jeu du bulldozer « grec » Shortsanitis, va déclencher la mécanique des Hellènes passant un 7-0 en deux minutes (19-17), grâce à Spanoulis notamment.
Temps-mort France et Parker reprends la mène.
Claude Bergeaud fait tourner son effectif, et TP redonne de l’air (24-19).
L’adresse des Grecs dans leur salle revient et c’est au tour de Chatzivrettas d’être à la fête et de marquer 6 points de suite permettant aux siens de passer devant (24-25, 18ème ).
Mais Parker (12 points à la pause) a la main chaude et répond derrière la ligne des 6,25m.
Foirest sur un rebond offensif permet au buzzer de garder la main à la mi-temps (29-27).

La Grèce est une équipe de série et sert toujours le joueur qui a la main chaude.
Diamantidis, le bourreau des Français au dernier Eurobasket, refait passer les siens devant (31-32 puis 33-36, 24ème) et Claude Bergeaud prend un temps-mort.
Les adversaires des Français appuient et les Bleus sont en panne sèche offensivement et encaissent un 6-0 (33-40, 27ème).
Seuls Parker et Diaw réussissent à marquer (10 points à eux deux) et les Grecs semblent aller trop vite pour les Français (39-49, 30ème).

A la sortie du banc, Shortsanitis enfonce encore un peu plus le clou dans la raquette et donne 15 longueurs d’avance aux Hellènes (39-54).
Avec un point marqué en 5 minutes (lancer-franc de Mike Pietrus), les Bleus ne semblent pas en mesure de faire face aux Champions d’Europe, l’énervement est palpable, Mike Pietrus prend une faute technique et l’écart enfle : (40-61).
Les Français n’y sont plus, même si Gelabale et Paker reduisent l’ardoise. Score final : 56-70.

Les Bleus s’envolent jeudi matin pour Berlin où ils joueront deux rencontres amicales, vendredi, face à l’Italie et samedi soir face à l’Allemagne ou la Turquie.

Les résultats du tournoi d’Athènes (Grèce)
Lundi 31 juillet : France – Italie : 66-59 / Grèce – Croatie :79-54
Mardi 1er août : France – Croatie : 76-69 / Grèce – Italie : 70-63
Mercredi 2 août : Italie – Croatie : 69-73 / Grèce – France : 70-56

Le programme à Berlin (Allemagne)
Jeudi 3 août : 17h30 : Entraînement
Vendredi 4 août : 17h30 : France – Italie / 20h00 : Allemagne – Turquie
Samedi 5 août : 18h00 : Match des perdants / 20h30 : Match des gagnants
Dimanche 6 août : Retour sur Paris dans la matinée
…..
Mercredi 9 août départ pour la Chine.

Source: basketfrance.com

Berlin pour deux nouveaux tests

L’Equipe de France est arrivée en fin de matinée en Allemagne à Berlin.
Les joueurs de Claude Bergeaud se sont entraînés sérieusement et joueront vendredi soir à 17h30 face à la l’Italie.
A 20h00, l’Allemagne de Dirk Nowitzki rencontrera la Turquie de Tanjevic. La France jouera, en fonction du résultat, contre l’une de ces deux dernières équipes.

Photo : Tony Parker et Dirk Nowitzki, les deux stars NBA, se sont croisés lors de leurs séances d’entraînements à la Max Schmeling Halle de Berlin (Canet/FFBB)

La journée de l’Equipe de France

Les Bleus se sont levés à 6h, jeudi matin, pour prendre le bus les conduisant à l’aéroport d’Athènes.
A 9h, le vol d’Olympic Airline décollait avec à son bord la formation française et italienne, cette dernière étant conviée également au Tournoi en Allemagne.
Après un vol sans problème de trois heures, les Bleus ont pris leurs quartiers au Dorint Novotel de Berlin, et ont pris un déjeuner à 13h. Après une sieste bien méritée, les joueurs se sont entraînés de 17h30 à 19h dans la magnifique salle « Max Schmeling Halle » pouvant contenir plus de 8 000 personnes.

Explications de « Jet Lag »

Jeudi en soirée, les coéquipiers de Boris Diaw ont écouté Claude Bergeaud et le Docteur Serge Petuya, qui ont présenté les modalités de récupération optimum du décalage horaire.
En effet mercredi matin les Français décolleront pour la Chine avec 17 heures de trajet et 6 heures de décalage horaire.
48 heures plus tard ils enfileront la tunique de match pour jouer contre la Grèce et le lendemain contre l’Australie.

Interview Claude Bergeaud

Après le tournoi d’Athènes et avant d’aborder les deux rencontres en Allemagne, Claude Bergeaud dresse un petit bilan.
Dans quel état d'esprit êtes-vous après la défaite de mercredi assez sévère face à la Grèce (56-70) ?
« Il y a plusieurs façons de voir les choses. A un moment donné il faut vivre des situations et des périodes difficiles pour savoir comment nous pouvons réagir dans ces périodes là, il fallait que cela arrive et c’est arrivé. Il ne faut pas non plus se tromper, même si je ne veux pas m’hasarder à faire des pronostics, la Grèce joue un basket de rêve et elle fait parti à mon avis des 3-4 meilleures équipes mondial. C’est également vrai que si nous avions battu la Grèce nous aurions pu nous dire que nous avions un potentiel énorme. Aujourd’hui notre niveau physique n’est pas homogène et nous ne sommes pas encore prêts dans ce domaine. Nous savons que c’est un paramètre important dans notre jeu. Ensuite nous manquons de constance. C’est cette constance que nous devons trouver. Pour exemple, nous avons, lors des trois dernières rencontres, connu des trous, et souvent dans le 3ème quart-temps, il faut petit à petit corriger cela. On manque de patience et nos actions en première intention ne sont pas encore les bienvenues. Les joueurs ont parfaitement conscience du chemin à parcourir et je leur fais confiance là-dessus. »

Le programme à Berlin (Allemagne)

Vendredi 4 août : 17h30 : France – Italie / 20h00 : Allemagne – Turquie
Samedi 5 août : 18h00 : France ou Italie – Turquie / 20h30 : Allemagne – France ou Italie
Dimanche 6 août : Retour sur Paris dans la matinée
…..
Mercredi 9 août départ pour la Chine.

Source: Basketfrance.com

Voila une premiere défaite sa va leurs permettre de se remettre en question!

L’Italie se venge d’Athènes

Alors que Claude Bergeaud réclamait de la constance, c’est une équipe de France qui n’a tenu qu’une mi-temps face à l’Italie, revancharde de ses défaites concédées à Athènes. Les Bleus ont craqué en troisième période. Score final : 65-79. Les Bleus joueront samedi soir à 20h30 face la Turquie.

Photo : Florent Pietrus (10 points) a été un des rares Tricolore a produire son véritable niveau lors de cette rencontre face à l’Italie . (Canet/FFBB)

Dès l’entame, Tony Parker prouve, une fois de plus, que son statut de star NBA et de leader de l’Equipe de France n’est pas usurpé. Avec 8 points dans le premier quart le « All Star » est omniprésent. Les Italiens répondent par leurs gâchettes Basile et Belinelli (9 points à eux deux). La maladresse des shooteurs extérieurs Tricolores ne permet pas de libérer la raquette bien fermée, et les Bleus terminent la 1ère période avec deux points de retard (14-16).

Les deux formations font jeu égal dans ce deuxième quart, dans lequel Joseph Gomis fait un travail très propre et score 6 points. Parker au repos c’est la doublette Jeanneau-Gomis qui dirige les opérations. Ronny Turiaf fait un bon passage, avec des passes bien senties mettant en avant ses coéquipiers. Pecile avec 7 points profite des quelques brèches laissées par la formation de Claude Bergeaud. Cette dernière passe devant grâce à un panier de Boris Diaw avant la pause :37-35.

Au retour des vestiaires, c’est l’Italie qui fait le jeu. Les sorties d’écran sont nettes et Belinelli fait mouche à deux reprises à 3 points (41-41). Le manque de constance que cherche à corriger Claude Bergeaud est flagrant. Les Français encaissent un 12-0 sans réagir en 3 minutes (41-50, 26ème). Le coach Tricolore décide de passer en zone 3-2 pour perturber l’attaque transalpine, mais Belinelli (11 pts dans ce quart) et Basile (9 pts dans ce quart) ont pris feu -11 sur cette période (51-60).

La défense revient au premier plan chez les Bleus mais l’attaque est « crispée ». Claude Bergeaud continu de tester différents « cinq » sur le terrain. Florent Pietrus est omniprésent et donne du jus aux siens, mais ça ne suffit pas, et les Bleus comptent 15 points de retard à 4 minutes du terme de la rencontre (58-73). Les coéquipiers de Boris Diaw, n’y sont plus et ne reviendront pas. Le score est sans appel : 65-79.

Samedi les Français joueront face à la Turquie à 20h30. Les Allemands vainqueurs des Turcs, joueront, eux, à 18h00 contre l'Italie.

France – Italie : 65-79 (14-16, 23-19, 14-25, 14-19)
Arbitres : Murat Biricik, Recep Ankarali, Robert Lottermoser.
4 500 spectateurs

Les marqueurs :
France :

Gomis 9, Gelabale 4, Jeanneau 1, Foirest 6, Pietrus M 5, Parker 14, Bokolo 1, Pietrus F 10, Petro 0, Diaw 4, Turiaf 6 (6 rebonds), Weis 5.
Ne jouent pas : Diarra, Julian

Italie :

Basile 15, Mancinelli NPJ, Soragna 0, Marconato 10, Pecile 7, Michelori 8, Mordente 4, Garri 2, Gigli 9, Di Bella 10, Belinelli 14, Rocca NPJ.
Ne jouent pas : Boscagin, Cittadini, Giochetti, Pecile, Di Giuliomaria.

Source: Basketfrance.com

Douche froide à Berlin

Sports.fr

Rien ne va plus pour l'équipe de France! Alors que les Bleus vivaient une préparation au Mondial nippon idyllique, jalonnée de succès et prometteuse en terme de potentiel, les Italiens, deux jours seulement après la débâcle grecque, les ont renvoyés à leurs chères études. Battus 79-65 par une Squadra Azzurra revancharde qu'ils avaient dominée la semaine passée dans le cadre du tournoi d'Athènes, les Tony Parker et consorts se sont révélé incapables de répondre aux exigences de constance formulées par Claude Bergeaud.

Florent Piétrus, l'un des rares Bleus à avoir surnagé face à l'Italie.

Si Claude Bergeaud s'était montré assez sage pour considérer le revers contre la Grèce tel un mal pour un bien mercredi soir, nul doute que cette nouvelle défaite l'aura échaudé davantage.
Lui, qui voyait en la déroute hellénique une gifle nécessaire à son groupe pour continuer à croître en apprenant de ses erreurs, ne devrait pas être aussi philosophe dans les vestiaires ce vendredi soir. Pour estimer positif le faux pas grec, il aurait été de bon aloi que les Bleus aient retenu la leçon. Le technicien tricolore a eu beau pointer du doigt la fameuse inconstance de ses troupes ces derniers jours, celles-ci se sont révélées hermétiques à son discours, incapables de soutenir le rythme imprimé par l'Italie au delà de la première mi-temps.

Dans la lumineuse enceinte Max Schmeling Halle, 8000 places, la France, sous la houlette d'un Tony Parker toujours aussi précieux dans son rôle de meneur, n'avait pourtant pas manqué son entrée en matière. Les huit points de TP (14 au total) inscrits dans le premier quart-temps avaient permis aux Bleus de rester au contact des Transalpins au tableau d'affichage (14-16) tandis que la deuxième période, plus équilibrée encore, avait vu les Tricolores prendre l'ascendant au score à la faveur notamment des six unités rapportées par Joseph Gomis (9 au total) et à l'activité d'un Ronny Turiaf brillamment altruiste, souverain dans sa zone de prédilection.

Turiaf et Petro se distinguent

Le troisième acte devait pourtant être fatal aux protégés de Claude Bergeaud. Encaissant un cuisant 0-12 en l'espace de trois minutes - l'adresse de Belinelli aux trois points n'étant pas pour les aider - les Français perdaient pied inexorablement et ne réagissaient que par intermittence, trop maladroits aux avant-postes cependant pour prétendre à renverser la vapeur (23 sur 50 aux shoots, dont 5 sur 15 aux trois points). La motivation de Florent Piétrus, auteur de 10 points, n'y faisait rien, les Bleus chutaient lourdement pour la deuxième fois en deux jours.

Une désillusion d'autant plus cruelle que l'équipe de France avait su prendre sans forcer la mesure de ces mêmes Transalpins le 31 juillet dernier à Athènes (66-59). Une défaite qui aura à n'en pas douter des conséquences fâcheuse pour l'un des éléments présents sur le parquet berlinois vendredi, Claude Bergeaud devant annoncer samedi soir l'identité du nouvel éliminé de sa sélection mondialiste. Selon toute vraisemblance, le technicien tricolore devrait alors entériner le départ d'un intérieur. Et dans cette guerre des nerfs ouverte, Ronny Turiaf - 6 points et 6 rebonds à son actif face à l'Italie - a très certainement marqué des points au détriment de Johan Petro.